« La sublime tubéreuse, qui s’éveille à la fin de l’après-midi, étire ses pétales de cire, parfois touchés de rose, et soupire : « il est six heures ». Son âme se met en marche et sur sa force odorante, nous mesurons l’état de l’atmosphère. »
(Sidonie Gabrielle Colette, 1873-1954, femme de lettres française ; Paysages et portraits, recueil posthume 1858)