« Le jardin planétaire ne saurait se soumettre à une cartographie classique, il est partout, il occupe la biosphère, son territoire est l’épaisseur du vivant. »
(Gilles Clément, né en 1943, paysagiste français ; Le Jardin planétaire, 1997)
Selon les préceptes du « jardin planétaire », la terre est un jardin et l’homme son jardinier. ©DR