« Une forêt pour toi, c’est un monde hideux.
Le songe et le réel s’y mêlent tous les deux
Là se penchent rêveurs, les vieux pins, les grands ormes
Dont les rameaux tordus font cent coudes difformes,
Et dans ce groupe sombre, agité par le vent,
Rien n’est tout à fait mort, ni tout à fait vivant ».
((Victor Hugo, 1802-1885, écrivain et poète français ; Les Voix intérieures, 1837)