« Souvent l’hiver semble s’interrompre, tant il s’adoucit, quelques beaux jours devancent le printemps, on en jouit d’autant plus que le besoin de jouir est plus grand, mais on reproche alors à la nature sa froideur ; on deviendra plus juste pour elle en la connaissant mieux, en voyant ce qu’elle accorde encore aux soins, aux travaux du jardinier ».
(François-Henri d’Harcourt comte de Lillebonne, 1726-1802, pair de France passionné par le jardinage ; Des jardins heureux, édition de 1969)