« Fatigué de l’épaisseur, de l’opacité de la gouache dont le coloris mat, épais, terne s’éteint, s’altère et s’écaille si facilement, Redouté y substitua son aquarelle, si légère, si brillante, si fraîche, qui rend si bien, sous son pinceau large et flexible, l’éclat, le velouté, la transparence et toute la finesse des fleurs dont il fait le portrait. »
(Éloge funèbre de Pierre-Joseph Redouté, 1759-1840, peintre et illustrateur botanique belge)