« Voici l’étroit sentier de l’obscure vallée :
Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais
Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée,
Me couvrent tout entier de silence et de paix ».
(Alphonse de Lamartine, 1790-1869, poète français ; Méditations poétiques, Le Vallon, 1820)