« J’ai la faculté d’assimiler la connerie ambiante comme les abeilles butinent les fleurs et prennent le pollen pour en faire leur miel. »
(Jean Gouyé, dit Jean Yanne. Je suis un être exquis, 2001)
« Il y a le vert du cerfeuil et il y a le ver de terre, il y a l’endroit et l’envers, l’amoureux qui écrit en vers. »
(Anonyme)
« Mon parc a deux rosiers dispensateurs d’arômes ; Leurs haleines jamais ne me semblent mêlées ; Quand les pesants midis règnent sur les allées, Chacun, sans nuire à l’autre, exhale en moi ses baumes »
(Yves Gérard Le Dantec, 1898-1958, poète français ; Les Deux rosiers, 1933)
« Dans un jardin, le pierres doivent être placées comme un groupe de chiens couchés sur le ventre, comme un groupe de sangliers qui s’égaient dans toutes les directions ou comme des veaux qui jouent avec leurs mères ».
(Satukeiki, Traité d’aménagement des jardins, époque Heian, xie siècle)