« Il faut vous dire que, dans mon enfance, on n’avait pas créé toutes ces variétés de roses que les jardiniers savants ont réussi à produire depuis, par la greffe et les semis. La nature n’en était pas plus pauvre pour cela. Nos buissons étaient remplis de variétés nombreuses de roses à l’éclat rustique. »
(George Sand, 1804-1876 ; romancière française. Contes d’une grand-mère, 1873)
Le bonheur des saisons
« Au printemps, toutes les fleurs célèbrent la beauté, Elles enflamment nos cœurs et nous laissent enchantés. En été, le jardin, accueillant, chaleureux, De mille et une richesses se montre généreux. En automne, les feuillages s’embrasent de mille feux, De pourpre, d’or et de cuivre, des moments fabuleux. L’hiver, tout s’engourdit, les plantes s’assoupissent, Le cycle est terminé, que la vie s’accomplisse. »
<p style="text-align:Le saule pleureur
« Son feuillage toujours cher à la rêverie, Offre un réduit propice aux mortels malheureux ; Il aime à les couvrir de sa mélancolie ; On dirait qu’il pleure avec eux. Les oiseaux, recueillis sous sa pâle verdure, De son tranquille abri n’osent troubler la paix ; Le ruisseau qui l’arrose adoucit son murmure, Et semble exprimer des regrets ».
(Constant Dubos, 1768-1845, poète
« Le progrès en sciences provient toujours d'une combinaison de pensées décousues et de pensées rigoureuses