« Je ne verrai jamais les jardins suspendus de Babylone, mais, ce qui me réconforte, c'est que personne d'autre non plus. »
(Geoff Nicholson. Comment j'ai raté mes vacances)
« Les fleurs sauvages, les fleurs des champs sont nos veilleurs de vie. »
(Michel Lis. Réflexions jardinières. OJM mai 2009)
« Quand on abat un arbre, celui-ci pousse un cri silencieux qui traverse le monde de part en part. »
(Rabbi Eliézer. Chapitres, ch. 33)
« Les fleurs de Fantin-Latour sont autant de merveilles de goût, d’art et de coloris. Ce sont des rythmes de ton, des fraîcheurs, des abandons, des vivacités surprenantes. »
(Zacharie Astruc. Critique d’art)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 24 DÉCEMBRE
« Une vie, c'est 70, 80 sapins de Noël. Remarquez, quelquefois il suffit d'un platane… »
(Michel Galabru, 1922-2016, comédien français ; Pensées, répliques et anecdotes - 2006)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 23 DÉCEMBRE
« Quand il neige à plein temps, c’est comme du silence qui tombe ».
(Félix Leclerc, 1914-1988, poète et chanteur québecquois)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 22 DÉCEMBRE
« Le mesclun, c’est la pochette surprise des salades. »
(Catherine Delvaux , Journaliste horticole française ; Le Meilleur du Potager, Larousse 2012)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 21 DÉCEMBRE
« Que dit-il, le brin d’herbe ? Et que répond la tombe ? Aimez, vous qui vivez ! on a froid sous les ifs. Lèvre, cherche la bouche ! Aimez-vous ! La nuit tombe ; Soyez heureux pendant que nous sommes pensifs. »
(Victor Hugo, 1802-1885, poète français, Crépuscule, Les Contemplations, 1856)
LA CITATION JARDINIERE DU 20 DÉCEMBRE
« Les jardiniers sont les vigies environnementales de demain. Ce sont des observateurs attentifs et des pourvoyeurs précieux d’informations sur la biodiversité des espaces qu’ils cultivent. »
(Florent Planas, Fondateur de Arcadia Environmental Festival, Table ronde Unep, octobre 2012)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 19 DÉCEMBRE
« C'est depuis toujours qu'elle essuie Averses, gels et tourbillons, La perce-neige des sillons Qu'un fil de tige, à peine appuie, Contre le vent, contre la pluie. »
(Charles-Nérée Beauchemin, 1850-1931, poète québecquois. Patrie intime, 1928)