« L’été se remarque non moins par ses mouches et moustiques que par ses roses et ses nuits d’étoiles ».
(Marcel Proust. Jean Santeuil, 1896-1904)
« La Terre promise est toujours de l’autre côté du désert ». (Henry Havelock Ellis, La danse de la vie – 1859-1939)
« Ô si vous saviez les effluves mystérieuses qui secouaient mon âme pendant que j’effeuillais cette rose poétique ! »
(Arthur Rimbaud. Premières proses. Un cœur sous une soutane)
« Parfois la mauvaise herbe pousse si drue dans mon jardin que je me sens devenir ortie-culteur. »
(Michel Lis, 1937-2015, journaliste jardinier ; Mes brèves de jardin, 2010)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 27 FÉVRIER
« Seule la rose est assez fragile pour exprimer l'éternité. »
(Paul Louis Charles Claudel, 1868-1955, poète et dramaturge français)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 26 février
« Il faut toujours se méfier des femmes que l’on prend pour des pots de fleurs. Un jour, on se les ramasse sur la tête. »
(Anonyme)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 25 FÉVRIER
« Si vous parvenez à respecter les fleurs et les arbres, vous finirez par aimer la terre qui les porte, la lumière qui les baigne, l'eau qui les nourrit ; vous aimerez le site entier qui les encadre ; en un mot, vous aimerez le coin du sol où vous êtes né ; vous aimerez votre pays ».
(Émile Verhaeren, 1855-1916, poète belge)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 24 FÉVRIER
« Il n'est pas pour moi d'occupation plus délicieuse que la culture de la terre… Et pas de culture comparable à celle du jardin… Mais, bien que je sois un vieil homme, je ne suis qu'un jeune jardinier. »
(Thomas Jefferson, 1743-1826, troisième président des Etats-Unis d’Amérique)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 23 FÉVRIER
« Eh ! Toi la nèfle, toi que l’on nomme “cul de chien” ! Tu as droit à la reconnaissance et le mérites bien ! »
(Thérèse Allirot, poète amateur, Rustica 03 novembre 2010)
LA CITATION JARDINIÈRE DU 22 FÉVRIER
« Les oliviers sont caractéristiques et je lutte pour attraper cela. C’est de l’argent, tantôt plus bleu, tantôt verdi, bronzé, blanchissant sur terrain rose, violacé, orangeâtre jusqu’à l’ocre rouge. Mais fort difficile, fort difficile. Mais cela me va et m’attire de travailler dans l’or et l’argent. Et, peut-être un jour, en ferai-je une impression personnelle comme le sont les tournesols pour les jaunes. »
(Vincent Van Gogh. Lettre à son frère Théo, septembre 1889)