L'émission complète
Tandis que nous venons de plonger dans l’automne depuis trois jours, NewsJardinTV vous propose de passer un moment chaleureux et joyeux en compagnie de nos animateurs jardiniers Patrick Mioulane et Roland Motte. Comme à leur habitude ces deux passionnés de plantes de nature et de jardin ont préparé avec soin un programme riche et varié qui associe la pratique, l’actualité et la découverte.
Paroles d’Experts : PEUT-ON COHABITER AVEC LES RONGEURS ?
Dans les pays industrialisés, la menace des rats, souris et autres mammifères rongeurs muridés comme disent les zoologistes est de plus en plus d’actualité. Quelle attitude adopter et quels sont les moyens de prévention.
Le Dossier : RÉCOLTER LES GRAINES DANS LE BUT DE LES SEMER.
Est-il valable ou non de produire ses semences à partir de plantes de son jardin ? Un débat animé entre nos deux experts, des conseils et des solutions.
Que faire dans le jardin du 25 septembre au 2 octobre ?
Histoires botaniques : LA POLLUTION LUMINEUSE ET LES PLANTES.
Si l’on considère le rôle prépondérant que la lumière joue dans l’organisation rythmique journalière et saisonnière des êtres vivants, on comprend aisément que toute perturbation des cycles photopériodiques naturels (alternance du jour et de la nuit) par l’éclairage de nuit est de nature à entraîner des perturbations de la synchronisation des horloges biologiques.
Accès direct aux thématiques
Même si on ne les voit que très rarement, nous sommes environnés de rongeurs. En ville : rats et souris, dans les jardins et à la campagne : campagnols et mulots (entre autres). Cette pullulation est liée à notre mode de vie sédentaire, elle n’est pas forcément un signe d’insalubrité.
Beaucoup d’articles et d’ouvrages de la presse et de la littérature horticole et jardin préconisent la récupération d’une année sur l’autre des graines produites par les plantes du jardin, puis de les semer l’année suivante. Le but est évidemment économique, les semences du commerce étant parfois fort onéreuses. Mais si cette pratique est tentante, est-ce vraiment une bonne solution ?
Si l’on considère le rôle prépondérant que la lumière joue dans l’organisation rythmique journalière et saisonnière des êtres vivants, on comprend aisément que toute perturbation des cycles photopériodiques naturels (alternance du jour et de la nuit) par l’éclairage de nuit est de nature à entraîner des désordres dans la synchronisation des horloges biologiques et donc de tous les processus rythmiques qui en dépendent. L’éclairage artificiel influence les végétaux et leurs commensaux d’une manière de plus en plus alarmante.