« Les forêts ne sont pas les seules à craindre les tornades. On peut se retrouver couché par ses propres tempêtes, par les neiges de silence, par le travail des mots qu’on n’entend plus mais qui, profond sous l’écorce, forent jusqu’au cœur. »
(Pierre Lieutaghi, né en 1939, ethnobotaniste français ; Le Livre des arbres, arbustes et arbrisseaux, 1969)