« Il souhaitait créer dans le jardin l’état d’un esprit nouvellement éveillé et encore empreint des rêves du passé, baignant déjà dans l’inconscience d’une lumière spirituelle douce et aspirant à la liberté qui réside dans l’au-delà. »
(Okakura Kakuzo, 1862– 1913, érudit japonais ; Le Livre du thé, 1906)