« Il y a dans son visage un jardin où vivent des roses et des lis blancs ; c’est un paradis céleste que ce lieu où abondent toutes sortes de doux fruits. Là se trouvent des cerises que personne ne peut prendre avant qu’elles-mêmes le réclament ».
(Thomas Campian, 1597-1620, poète anglais – Il y a un jardin dans son visage)