« Quand je vais chez la fleuriste
Je n’achète que des lilas.
Si ma chanson chante triste
C’est que l’amour n’est plus là.
Comme j’étais, en quelque sorte
Amoureux de ces fleurs-là,
Je suis entré par la porte
Par la porte des Lilas.
Des lilas, y’en avait guère
Des lilas, y’en avait pas.
Z’étaient tous morts à la guerre,
Passés de vie à trépas… »
(Georges Brassens. 1921-1981. Les Lilas, 1957)