« Certes, les parfums purs que la fleur des bois verse,
Forts comme ils sont naïfs, constants comme ils sont vrais,
Où rien de dangereux ni d’énervant ne perce,
Mêle, mieux vaudrait si tu les préférais. »
(Armand Renaud, 1836-1895, poète français ; Recueil intime La Violette de Parme, 1881)