« Si les jardins n’existaient pas, il serait urgent de les inventer. Ce sont les conservatoires les plus sûrs de la diversité végétale, la plus belle promesse d’avenir pour notre propre espèce. »
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(08 janvier)
À la Saint Lucien, plantons un rosier ancien.
« Pour le jardinier, le bonheur est que son jardin soit le miroir de son cœur et de son savoir. »
(Michel Lis, 1937-2015, journaliste jardinier ; Réflexions jardinières, Officiel Jardin-Motoculture N° 159 Novembre
(07 janvier)
À la Saint Raymond, bon jardinier nourris sa terre avec du goémon.
(06 janvier)
Pour les Rois, gouttes sur le toit, saison de pois.
« Tant il gela que les branches laiteuses molestèrent la scie, se cassèrent aux mains. »
(René Char, 1907-1988, poète français ; Lied du figuier, Retour amont, 1966)
(05 janvier)
À la Saint Édouard, sortons l’émondoir.
« Souvent l’hiver semble s’interrompre, tant il s’adoucit, quelques beaux jours devancent le printemps, on en jouit d’autant plus que le besoin de jouir est plus grand, mais on reproche alors à
« Quand j’entends dire qu’il y a des fleurs sans parfum, c’est que le jardinier est enrhumé ou mal luné ! »
(Michel Lis ; 1937-2015, journaliste jardinier ; Réflexions jardinières OJM 162 avril 2009)
« Le jardin se construit au fur et à mesure de la connaissance qu’on a du climat, d’une géographie ; c’est un tâtonnement perpétuel du créateur sur son œuvre »
(Erik Borja,
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