« Et il se retrouva bientôt sur le boulevard couvert de feuilles mortes… Leur tapis rouge et jaune frémissait, remuait, ondulait d’un trottoir à l’autre sous les poussées plus vives de la brise grandissante ». (Guy
(05 novembre)
À la Sainte Sylviane, est bien mûre la pomme Ariane.
« Si une femme mange un jeune poireau blanc en visualisant intensément l’homme qu’elle désire, celui-ci se mettra à penser très fort à elle et pas uniquement avec la tête .»
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(04 novembre)
À la Saint Vital, plantons la digitale.
« Et le vin coulait autour de la table comme l'eau coule à la Seine. Un vrai ruisseau lorsqu'il a plu et que la terre a soif. » (Émile Zola, 1840-1902, écrivain français ; L’Assommoir, 1877)
« On reproche avec raison à la pomme de terre d’être venteuse : mais qu’est-ce que des vents pour les organes vigoureux des paysans et des manœuvres ? »
(Denis Diderot (1713-1784) et Jean
(03 novembre)
Ciboulette empotée à la Saint Gwenael se dégustera au moins jusqu’à Saint Gaël. (17 décembre)
« Des potirons rivalisent avec les sculptures de Botero ou les femmes de Nicky de Saint-Phalle. »
(Michel Lis, 1937-2015, journaliste jardinier ; Réflexions jardinières, Officiel Jardin-motoculture, décembre 2009)
(02 novembre)
Au jour des Morts, les chrysanthèmes fleurissent le jardin des morts.
« C’est facile de faire des choses sublimissimes, mais qui ne vont pas bien vieillir. Aujourd’hui, le grand bonheur, c’est de bien vieillir. » (Jean Mus, né en 1942, paysagiste français)