« Le paysage n’est pas une matière figée, c’est un mouvement… Il faut sortir du débat des oppositions, homme contre nature, ville contre campagne et nous pencher sur celui de la fusion. Nous fabriquons
(16 novembre) Douceur de Sainte Marguerite, jardinier plante tes marguerites.
(15 novembre) Il est obligatoire, à la Sainte Victoire, de ramasser les feuilles sur les trottoirs.
« Un jardin est un lieu artificiellement planté et cultivé, soit pour nos besoins, soit pour notre plaisir… Aussi le mot jardin se prend en hébreu pour un lieu délicieux, planté d’arbres ; c’est ce
« Sur la rive et autour des fontaines perçait l’herbe serrée et menue : on eut pu y coucher sa maîtresse comme sur une couette, car à cause des ruisseaux voisin, la terre était douce
(14 novembre) À la Sainte Sidonie, les feuilles des arbres sont à l’agonie.
« Plus un contemplateur a l’âme sensible, plus il se livre aux extases qu’excitent en lui les accords de la nature. Une rêverie douce et profonde s’empare alors de ses sens, et il se perd
(13 novembre) À la Saint Brice, plantons les ibéris.
« … Au milieu du jardin, il y a des petites Silhouettes barbues, coiffées d’un bonnet. Les pioches à la main, sont tous éparpillés Les gros nains de granit, comme des stalagmites. » (Yann Cassini, 2004. Élève de 4e
(12 novembre) À la Saint Christian, le feuillage de l’arbre à perruques est flamboyant.