(16 octobre).
Jardinier, si tu n’as pas le vertige, à la Sainte Edwige, taille tout arbre qui se néglige.
« La feuille d’automne, Emportée par le vent, En ronde monotone, Tombe en tourbillonnant. »
(Francine Cockenpot, 1918-2001, Colchiques dans les
(15 octobre).
Au 15 Octobre, le temps s’apaise, car c’est l’été de la Sainte-Thérèse.
(14 octobre).
À la Saint Juste, plantons des arbustes, ils seront plus robustes.
« Cèdres, cèdres de Dieu, qui dira, qui peut dire Votre auguste noblesse et votre majesté, Vous qui vîtes couler d’innombrables empires <span
« Tu es belle, raffinée, élégante, distinguée Dans ta jungle, en liberté, on te laisse t’accrocher. Tu cours vers ton ciel, pas statique, volubile, Tu fabriques mille vrilles, enivrante chlorophylle. » (Patrick Blanc,
(13 Octobre) Des baies du sureau à la Saint Géraud, faisons du sirop.
« Ce qui dure, c’est l’indifférence. Rien ne tient mieux à l’arbre qu’une branche morte ». (Henry de Montherlant, 1895-1972, écrivain français ; Demain il fera jour, 1949)
(12 octobre) À la Saint Séraphin, de toutes les roses s’envolent les parfums.
(11 octobre) À la Saint Firmin, gamin, ramasse les feuilles sur le chemin.