« Les cornets verdâtres de l’arum de l’ombre, Aux feuilles tachetées de brun, Qu’on trouve aux lisières des bois »
(Roger Caillois, 1913-1978, Le
À la Sainte Victoria, se pare de ses cônes l’araucaria.
(20 juillet).
Mâche semée à la Sainte Marina se consommera jusqu’à Sainte Nina (14 janvier)
« Il n’est ni froid, ni chaud Le délicieux cœur d’artichaut, Il multiplie ses tendresses Pour sa femme et ses maîtresses. »
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« L’Art des jardins n’est rien d’autre que celui d’orner le sol avec la même diversité (herbes, fleurs, arbustes, arbres, des eaux mêmes, coteaux et vallons) que celle avec laquelle
(19 juillet)
À la Saint Arsène, les dahlias entrent en scène.
« …Et pareille à la chair de la femme, la rose Cruelle, Hérodiade en fleur du jardin clair, Celle qu’un sang farouche et
(18 juillet). À la Saint Frédéric, potager et vergers sont pléthoriques.
« Passiflora edulis déploie sa fleur comme une méduse aux tentacules échevelés, dont les organes rappellent la passion du Christ. » (Patrick Mioulane, né en 1951, Journaliste naturaliste français ; Le Truffaut Plantes d’intérieur 2004)
(17 juillet) Au 17 juillet, fi de poison et de julep.