(26 juillet).
Si les fourmis s’agitent à la Sainte Anne, l’orage descend de la montagne.
« Les bois de cactus ont un aspect fantastique. Les troncs tordus ressemblent à des corps de dragons, à des membres de monstres aux écailles soulevées et hérissées de pointes. »
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« Je suis tellement heureux lorsque je me promène dans les bois, parmi les arbres, les fleurs et les rochers. Personne n’aime la campagne autant que moi. Ici, la surdité
(25 juillet).
Saint-Jacques pluvieux, les glands malheureux.
(24 juillet).
À la Sainte Ségolène, fleurit la molène.
« Minuscule étoile du désert, Le rare caralluma se désaltère, De fragiles perles de rosée Que son duvet neigeux cristallisé <span style="font-family:
(23 juillet)
À la Saint Apollinaire, de l’ombre pour la pulmonaire (Pulmonaria saccharata)
« Plus que le jardinage, qui, après tout, n’est qu’une science mal dégrossie, la botanique de terrain est une leçon de choses qui permet de découvrir les véritables trésors du
« Les sillons où les blés jaunissent Sous les pas changeants des saisons, Se dépouillent et se vêtissent Comme un troupeau
(22 juillet).
À la Sainte Madeleine, la noix est pleine, à la Saint Laurent (10 août) on regarde dedans, à la saint Roch (16 août), <span