« En voulant tout maîtriser de la nature qui subsistait en leur sein, les villes on cru pouvoir lui échapper. Notre époque leur rappelle cette erreur avec force. »
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(11, 12, 13 mai).
Il faut se méfier de Saint Mamert, de Saint Pancrace et Saint Servais, car ils amènent un temps frais, et vous auriez regret amer.
(10 mai).
À la Sainte Solange, massifs et potées, le bon jardinier arrange.
« La fleur de nénuphar épanouit sa langueur au soleil, comme un baiser posé sur le miroir de l’eau. »
(Patrick Mioulane, né en 1951, journaliste et botaniste
« Tous parcs étaient vergers du temps de nos Ancêtres ; Tous vergers sont faits parcs : le savoir de ces maîtres Change
(09 mai)
À la Saint Pacôme, seringat et lilas embaument.
« Elle n’avait jamais vu de camélias blancs, elle n’avait jamais senti le cytise des Alpes, la citronnelle, le jasmin des Açores, toutes ces odeurs divines qui sont comme
(08 mai)
À la Saint Désiré, s’il fait beau, c’est au jardin que vous irez.
(07 mai)
À la Sainte Gisèle, il faut sarcler la piloselle.
« La pensée véritable et authentique est semblable à une graine ; elle est semée dans la terre fertile du cerveau. Pour qu’il y ait germination, il faut une