« Pieds, tiges, stipes, pattes en suspension, racines-échasses, lianes sans fin… dans la forêt, tout s’organise et s’entrecroise, enchevêtrement maximum des forces vivantes. Une génération verticale, toutes énergies rassemblées, déployée dans
(19 février)
Lorsque Saint Gabin pleure, le printemps arrive de bonne heure.
(18 février)
À la Sainte Bernadette, le jardinier sème les fleurs qu’il plantera à Sainte Odette. (20 avril)
« Les plantes indigènes à la France se réduisent à un très petit nombre et c’est à nos voyageurs que nous devons la plupart de celles que nous possédons.
« Il faut vous dire que, dans mon enfance, on n’avait pas créé toutes ces variétés de roses que les jardiniers savants ont réussi à produire depuis, par la
(17 février)
À la Saint Alexis, graines de souci se sème sans souci.
(16 février).
Brouillard de Sainte Lucille annonce année difficile.
Le bonheur des saisons
« Au printemps, toutes les fleurs célèbrent la beauté, Elles enflamment nos cœurs et nous laissent enchantés. <span
Le saule pleureur
« Son feuillage toujours cher à la rêverie, Offre un réduit propice aux mortels malheureux ; <span style="font-family: Arial;
(15 février)
À la Saint Claude, de l’huile pour la Reine-Claude.