(11 novembre)
Si la lune est à son croissant à la Saint-Martin, l’hiver sera mou et pluvieux.
« Voici l’étroit sentier de l’obscure vallée : Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée, Me couvrent tout entier de
« Qu’un bon potage de santé soit un bon potage bourgeois, que celui aux choux sente entièrement le chou, au poireaux, le poireau, aux navets, le navet… »
(Nicolas de Bonnefons, agronome
(10 novembre)
À la Saint Léon, si le temps est bon, plantons un Napoléon.
« Chaque fleur a son pot, chaque pot son cache-pot. Non seulement posséder, mais souligner par deux fois, trois fois ce que l’on possède. C’est la hantise du pavillonnaire et du petit
(09 novembre)
Plantons les narcisses à la Saint Théodore, ils fleuriront à la Saint Isidore. (04 avril)
« Depuis trois ans il plantait des arbres dans cette solitude. Il en avait planté cent mille. Sur les cent mille, vingt mille était sortis. Sur ces vingt mille, il comptait encore
« C’est dans le jardin que l’humanité apprend la différence entre la nature sauvage, qui peut lui être hostile, et la nature maîtrisée, qui peut l’aider se dépasser et qui constitue véritablement
(07 novembre) À la Sainte Carine, vite sous abri l’érythrine.
(06 novembre)
Semons les petits pois à la Saint-Léonard, ils produiront au printemps sans retard.