« L’eau tombait, en abondance et tout droit, d’une éminence proche ; elle était claire et aussi froide que celle d’un puits ou d’une fontaine. Jamais encore je n’avais vu cette eau dont
« Tu fleuris, éclatante dans la rosée d’automne,
Colorée du bleu du paradis,
Tu t’épanouis quand la douce lumière
Succède à la nuit piquante et glaciale.
Et tu pointes ton œil timide et doux,
Regardant le ciel
« Hélénie, flamboyante marguerite d’automne,
Ta longue tige ornée de mille ailes minuscules,
Se couronne en beauté de gracieux capitules,
Virevoltant dans le vent et jamais monotones. »
(Patrick Mioulane, né en 1951, journaliste botaniste ;
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