« Le terreau, qui est une suite nécessaire au dépérissement successif des végétaux, est le grand et simple moyen que la nature emploie pour fournir sans cesse l’aliment à de nouvelles végétations. »
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« La nature n'est ni morale ni immorale, elle est radieusement, glorieusement, amorale. »
(Théodore Monod, 1904 - 2001, naturaliste, explorateur, humaniste français)
(20 janvier)
À la Saint Sébastien, les jours rallongent d’un pas de chien.
« Je dois peut-être aux fleurs d’avoir été peintre. »
(Claude Monet, 1840-1926, peintre français)
(19 janvier)
À la Saint Marius, si l’hiver fait un rictus, au chaud les pieds d’eucalyptus.
Ce bel ouvrage de 464 pages est le fruit d’un riche partenariat entre le Conseil départementale des Bouches-du-Rhône, le Conservatoire botanique national méditerranéen, la Société linnéenne de Provence et l’Institut méditerranéenne de biodiversité et d’écologie.
Fort de son sous-titre « journal d’un amoureux des plantes », voici un livre tout aussi sympathique que son auteur. Il fait partager ses émotions et ses évolutions jardinières à travers des exemples pris dans son jardin.
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« … L'hiver, moins triste qu'on ne croit, Voit quelques fleurs dans son cortège : Dussé-je paraître un peu froid, Je vais chanter la perce-neige. »
Armand Gouffé, 1775-1845. Encore un ballon, ou chansons
(18 janvier)
À la chaire du bon Saint Pierre, l’hiver s’en va s’il ne resserre.