Vivant en Australie occidentale, Nuytsia floribunda, est nommé localement « arbre de Noël » car il fleurit à cette période (octobre à janvier). Comme la plupart des espèces de la famille des Loranthacées, cet arbre

Arbuste américain vivant dans l’Oregon et en Californie, Garrya elliptica est un arbuste assez rustique (-10 °C), qui forme un buisson généreux (3 m).  Dote d’un feuillage persistant, coriace au revers duveteux, il se signale

Arbuste semi-rustique (-5 °C) que l’on rencontre dans les terrains secs au sud-ouest de l’Australie occidentale, Regelia velutina est un petit cousin des eucalyptus (famille Myrtacées). Il forme un buisson érigé de 4 à 6

Cette curieuse panicule tubulaire appartient à Fuchsia paniculata qui, dans la nature forme un arbuste de 2 à 4 m de haut. Son feuillage persistant, vert sombre, aux nervures bien marquées, met bien en valeur

Cette adorable petite vivace australienne est appelée localement « pompon » en raison de sa forme compacte et de sa forte pilosité. Les botanistes qui l’appellent Ptilotus manglesii l’ont classée dans la famille des Amaranthacées.

Originaire du Costa Rica et du Mexique Passiflora conzattiana n’a été découverte qu’en 1977. C’est une grimpante tropicale de petite taille (2 m), dont le feuillage persistant ses caractérise par sa forme tronquée comme celui

Plante protégée en France où on peut la rencontrée près de la Méditerranée, Anthyllis barba jovis, la barbe de Jupiter est un sous-arbrisseau semi-rustique (-8 °C) appartenant à la famille des Fabacées (Légumineuses). La plante

Blandfordia punicea est endémique de l’ouest de la Tasmanie où on le nomme « clochette de Noël ». Cette vivace non rustique (0 °C) forme une touffe de feuilles en lanières qui peut atteindre 1

Geranium x Brookside est un hybride horticole de G. pratensis x G clarkei ‘Kashmir Purple’. Cette vivace rustique, forme une touffe (40 cm) étalée (60 cm) de feuilles caduques très découpées, qui se parent d’une

Endémique de l’Île de Socotra (Yémen), Duvaliandra dioscoridis n’a été décrit qu’en 1980. Cette apocynacée n’est connue que sur un site de 100 m2 où vivent moins de cinquante spécimens, ce qui en fait une