(22 mars) À la Sainte Léa, on sème les Cobaea. [caption id="attachment_7605" align="alignnone" width=""]Cobaea scandens est aussi appelé le lierre du Mexique. ©www.map-photos.com[/caption]
« Sarracenia purpurea, ses urnes coiffées comme des pénitents, sont des abîmes pour les insectes ». (Patrick Mioulane, né en 1951, journaliste botaniste ; Le Truffaut Plantes d’intérieur 2004) [caption id="attachment_7603" align="alignnone" width=""]La floraison de Sarracenia purpurea subsp.
(21 mars). À Saint Benoît, le coucou chante, il en a le droit ou bien il meurt de froid. [caption id="attachment_7601" align="alignnone" width=""]Le coucou (Cuculus canorus). ©www.map-photos.com - Alain Guerrier[/caption]
Le chêne et le roseau « Le Chêne un jour dit au Roseau :Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;Un roitelet pour vous est un pesant fardeau.Le moindre vent, qui d'aventureFait rider la face de l'eau,Vous oblige
(20 mars). Ami, plante un poirier à Sainte Claudia, tu en dégusteras les fruits à Sainte Nadia. (18 septembre) [caption id="attachment_7597" align="alignnone" width=""]Protégez de l’appétit des lapins, le pied des poiriers nouvellement plantés. ©www.map-photos.com
« …Des tisanes d’herbes toutes fleuries et qui descendaient en moi, chaudes, parfumées au goût de terre et de soleil qu’ont les eaux d’arrosage, l’été dans les prés. » (Jean Giono, 1895-1970, écrivain français ; Jean le Bleu,
(19 mars). À la Saint José, bon jardinier, sème ses poués. (dicton du Poitou et de Bretagne) [caption id="attachment_7593" align="alignnone" width=""]Semez les pois de préférence en poquets. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« J’aime appuyer ma main sur le tronc d’un arbre devant lequel je passe, non pour m’assurer de l’existence de l’arbre, dont je ne doute pas, mais de la mienne. » (Christian Bobin, né en 1951, écrivain
(18 mars). À la Saint Cyrille, on taille les dernières myrtilles. [caption id="attachment_7589" align="alignnone" width=""]Une taille légère favorise la production de myrtilles. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« Vous avez interrogé les savants, leur demandant ce que c’était que ce tubercule, et après deux mille ans de discussion les savants vous ont répondu comme le premier jour : « Nous ne savons pas. »