(19 mars). À la Saint José, bon jardinier, sème ses poués. (dicton du Poitou et de Bretagne) [caption id="attachment_7593" align="alignnone" width=""]Semez les pois de préférence en poquets. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« J’aime appuyer ma main sur le tronc d’un arbre devant lequel je passe, non pour m’assurer de l’existence de l’arbre, dont je ne doute pas, mais de la mienne. » (Christian Bobin, né en 1951, écrivain
(18 mars). À la Saint Cyrille, on taille les dernières myrtilles. [caption id="attachment_7589" align="alignnone" width=""]Une taille légère favorise la production de myrtilles. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« Vous avez interrogé les savants, leur demandant ce que c’était que ce tubercule, et après deux mille ans de discussion les savants vous ont répondu comme le premier jour : « Nous ne savons pas. »
(17 mars). À la Saint Patrick, mon ami, rempote tes plantes exotiques. [caption id="attachment_7585" align="alignnone" width=""]Rempotage d’un Fatsia japonica. ©www.map-photos.com – Pasmiou[/caption]
« Aussi génial que l’on soit, on sera toujours, face à l’univers, aussi insignifiant qu’une fontaine de village face aux chutes du Niagara. Mais ce n’est pas grave, l’essentiel, c’est que l’eau soit potable. » (Grégoire Lacroix,
(16 mars) À la Sainte Eusébie, plantons une zénobie. [caption id="attachment_7581" align="alignnone" width=""]Zenobia pulverulenta, le muguet en arbre. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« Si vous n’êtes pas en rapport avec les êtres vivants de la Terre, vous risquez de perdre votre rapport avec l’humanité. » (Jiddu Krishnamurti, 1895-1986, Philosophe indien) [caption id="attachment_7579" align="alignnone" width=""]Rester connecté avec la nature est
(15 mars). À la Saint William, plantons la jusquiame. [caption id="attachment_7577" align="alignnone" width=""]Hyoscyamus niger, la jusquiame noire. ©www.map-photos.com [/caption]
La Violette «… Sans faste et sans admirateur,Tu vis obscure, abandonnée,Et l’œil cherche encore ta fleurQuand l’odorat l’a devinée.Sous les pieds ingrats du passantSouvent tu péris sans défense ;Ainsi sous les coups du méchantMeurt quelquefois l’humble