• Le Camélia de ma mère (Alain Baraton, Grasset, 13 €). De la Chine et du Japon jusqu’à à Venise, en passant évidemment par Versailles, mais aussi par Nantes et le jardin de ses escales vacancières
https://youtu.be/RY009vToeZU
Pour cette émission de tout début de printemps, Patrick Mioulane et ses amis chroniqueurs vous proposent la visite d’un des plus beaux jardins privés de France: le Vastérival, mais aussi de tailler un rosier grimpant,
« Au fond de chacune des cloches de la fritillaire, six gouttes de l’eau la plus claire et la plus douce, au goût de sucre, brillent comme des perles d’Orient. Retirez-les, d’autres se forment immédiatement ». (John
« Ô glycine, collier des gouttières chagrines,Manteau léger du parc aux grands escaliers blancsTreille aux raisins d’azur, festons d’argent,Vitrail d’évêque où chaque palme dessineEntre des pendentifs d’améthystes, en rangs ;Flocons d’encens, clairs sachets odorants,Qui tombent sur mon
« Au-dessus de moi, un grenadier laissait pendre les boutons de ses fleurs, clos et côtelés comme des petits poings fermés, qui contiendraient tout l’espoir du printemps ». (Albert Camus, 1913-1960, écrivain et philosophe français ; Noces, 1938)
« Je découvris quelque chose de véritablement important : un brin d’herbe, ou ce qui deviendrait un brin d’herbe : pour l’heure une radicelle, sinueuse, blanchâtre. » (Paul Gayet-Tancrède dit Samivel, 1907-1992, écrivain et poète français ; L’œil émerveillé ou
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