« Ras la fourchette de la dictature du haricot vert, sempiternelle vedette de la « garniture » de légumes ! Le légume unique n'est pas plus supportable que la pensée du même nom. » (Philippe Bouvard, né en 1929. Mille
(26 avril). À Sainte Alida, les pucerons en armada font la corrida. [caption id="attachment_5687" align="alignnone" width=""]Une hampe florale d’anthémis colonisée par des pucerons noirs. ©www.map-photos.com – Nathalie Pasquel[/caption]
« Grenouille : Reptile muni de pattes comestibles. La première mention de cet animal dans la littérature profane date, chez Homère, du récit de la guerre des grenouilles et des souris. » (Ambrose Gwinnett Bierce, 1842-1914. Le Dictionnaire
« L’aurore, d’une main, en sortant de ses portes,Tient un vase de fleurs languissantes et mortes ». (François de Malherbe 1555-1628, Les larmes de Saint-Pierre, 1587) [caption id="attachment_5641" align="alignnone" width=""]Une aurore magnifique. ©Dee[/caption]
(24 avril). À la Saint Fidèle, plantons de l’asphodèle. [caption id="attachment_5639" align="alignnone" width=""]Asphodelus albus. ©www.map-photos.com[/caption]
« Fabuleux réservoir d’une espérance de vie,L’enveloppe providentielle de la graine qui survit,Protégée dans l’écrin d’une tendre pulpe exquise,Affirme la quintessence d’une récolte promise.Souvenir de l’Éden aux infinis délices,Le fruit, témoin de la cupidité des hommes,Recèle
(23 avril). À la Saint Georges, l’épi de l’orge est dans la gorge. [caption id="attachment_5635" align="alignnone" width=""]L’orge à crinière (Hordeum jubatum). ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« Quand les feuilles tremblent, ce n’est pas l’affaire des racines ». (Wole Soyinka, écrivain négérien né en 1934. La danse de la forêt, 1960) [caption id="attachment_5633" align="alignnone" width=""]Pennisetum alocuperoides ‘Hameln’ dans le vent. ©www.map-photos.com – N.
(22 avril) À la Saint Alexandre, plantons une scolopendre. [caption id="attachment_5631" align="alignnone" width=""]La très décorative fougère Phyllitis scolopendrium ‘Furcata’. ©www.map-photos.com – Nathalie Pasquel[/caption]
« L’Encephalartos horridus (sic), un gigantesque artichaut de fer, peint en rouille, tel qu'on en met aux portes des châteaux, afin d'empêcher les escalades. » (Joris-Karl Huysmans, 1848-1907. À Rebours, 1884) [caption id="attachment_5629" align="alignnone" width=""]La Cycadacée Encephalartos