(18 novembre) Gelée de Sainte Aude n’est que chiquenaude. [caption id="attachment_6612" align="alignnone" width=""]Les premières gelées automnales renforcent les coloris des feuillages. Ici Cotinus coggygria. ©NewsJardinTV– N. & P. Mioulane[/caption]
« En refusant d’être goutte d’eau, tu acceptes d’être océan ». (Lionel Daudet, alpiniste français. Extrait du magazine Grimpez) [caption id="attachment_6610" align="alignnone" width=""]En tombant la fragile goutte d’eau fait exploser la surface de l’océan. ©DR[/caption]
(17 novembre). À la Sainte Élisabeth de Noël on fait le pense-bête. [caption id="attachment_6608" align="alignnone" width=""]Une bonne idée dans la maison : un arbre de l’avent. ©DR[/caption]
« Au milieu de la cour intérieure, il y avait une magnifique fontaine de bel albâtre. Au-dessus, les trois Grâces, portant des cornes d’abondance, rejetaient l’eau par les mamelles, la bouche, les oreilles, les yeux et
(16 novembre). À la Sainte Margot, pleure des larmes d’or le ginkgo. [caption id="attachment_6604" align="alignnone" width=""]Les feuilles en éventail du Ginkgo biloba jaunissent en automne. ©NewsJardinTV– N. & P. Mioulane[/caption]
« Des viandes insipides encore affadies par les cataplasmes des chicorées et des épinards. » (Joris-Karl Huysmans, 1848-1907. À vau-l’eau, 1888)[caption id="attachment_6602" align="alignnone" width=""]Un plat de régime : de la viande blanche et des épinards. © DR[/caption]
(15 novembre). À partir de Sainte Victoria, plus d’eau pour le Sansevieria. [caption id="attachment_6600" align="alignnone" width=""]Une ambiance moderne avec plusieurs espèces de Sansevieria. ©Flora[/caption]
« La couleur dans un jardin est un poème que le jardinier fait rimer à grands coups de bêche et de râteau. » (Michel Lis, 1937-2015. Mes brèves de jardin, 2010) [caption id="attachment_6598" align="alignnone" width=""]L’embrasement automnal apporte
(14 novembre) Gel de Sainte Sidonie, au jardin jour honni ! [caption id="attachment_6596" align="alignnone" width=""]Les premières morsures de l’hiver sur la pelouse. ©NewsJardinTV– N. & P. Mioulane[/caption]
• La formation de la terre végétale par l’action des vers (Charles Darwin - Éditions Slatkine – 70 €). Il s’agit du tome vingt-huit des œuvres complètes de Charles Darwin, le dernier ouvrage du grand naturaliste