(12 avril). À la Saint Jules, chasse les iules et les forficules s’ils pullulent. [caption id="attachment_5643" align="alignnone" width=""]Forficula auricularia, le perce-oreilles. ©Faune[/caption]
« On a besoin d’accrocher sa charrue aux étoiles ». (Ralph Waldo Emerson, 1803-1882, philosophe et poète américain) [caption id="attachment_5593" align="alignnone" width=""]Le jardin sous un ciel constellé d’étoiles. ©Dr[/caption]
(10 avril) À la Saint Térence, pointe la garance. [caption id="attachment_5591" align="alignnone" width=""]Rubia tinctorum, la garance des teinturiers. ©Flora[/caption]
« Les câpres sont bonnes à cause qu’elles aiguisent l’appétit et désopilent ; elles doivent être bien dessalées. » (Ambroise Paré, 1510-1590, chirurgien et anatomiste français) [caption id="attachment_5589" align="alignnone" width=""]Les fruits de Capparis spinosa. ©Flora[/caption]
(09 avril) À la Saint Gaucher finit de fleurir le pêcher. [caption id="attachment_5587" align="alignnone" width=""]La fleur délicate de Prunus persica. ©Flora[/caption]
(08 avril) À la Saint Gautier, on mets dehors le bergamotier. [caption id="attachment_5583" align="alignnone" width=""]Citrus Bergamia. ©Flora[/caption]
« La biodiversité est garante de l’équilibre écologique du jardin. » (Denis Pépin. Ingénieur écologue. SNHF septembre 2008) [caption id="attachment_5581" align="alignnone" width=""]La prolifération végétale favorise la présence de la faune sauvage. Paysagistes Gabriella Pape & Isabelle van
(07 avril). Sécheresse de Saint Jean Baptiste beau temps pour les cistes. [caption id="attachment_5579" align="alignnone" width=""]Cistus ‘Little Miss Sunshine’. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
(06 avril). À la Sainte Perrine, plante une vipérine. [caption id="attachment_5575" align="alignnone" width=""]Echium pininana, la vipérine géante des Canaries. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]