« La diligente abeille n’a pas le temps pour la tristesse ». (William Blake) [caption id="attachment_4564" align="alignnone" width=""]L’abeille domestique butine jusqu’aux premiers froids. ©Fauna[/caption]
(11 novembre). Dès la Saint Martin, fleurit le laurier-tin. [caption id="attachment_4562" align="alignnone" width=""]Viburnum tinus ‘Lisarose’. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
[caption id="attachment_4509" align="alignleft" width="205"] Carl Peter Thunberg en 1808. ©Johann Peter Krafft (1780-1856)[/caption] Le 11 novembre 1743 naissait à Jönköping au sud de la Suède, Carl Peter Thunberg, naturaliste suédois, mort le 8 août 1828 à Thunaberg près d'Uppsala.
« Faut-il que les hommes aient des œillères pour ignorer que les plantes leur veulent du bien et qu’elles constituent un des trésors les plus précieux de notre planète ? » (Patrick Mioulane. Conférence décembre 2008) [caption id="attachment_4560"
(10 novembre). À la Saint Lionel s’endorment les coccinelles. [caption id="attachment_4558" align="alignnone" width=""]Coccinelle à sept points. ©www.map-photos.com – Nathalie Pasquel[/caption]
« Le sol tu fertiliseras raisonnablementet travailleras assidûmentAvant rotation des culturesEt repos de la terre évidemment. » (Albert Adam. Mon potager ma seule médecine, 2010) [caption id="attachment_4556" align="alignnone" width=""]L’incorporation de compost au sol en automne est très
(9 novembre). À la Saint Théodore, le ginkgo pleure ses derniers éventails d’or. [caption id="attachment_4554" align="alignnone" width=""]Un Ginkgo biloba en or souligné des diamants du givre. ©www.map-photos.com[/caption]
« Novembre est un beau mois. Mais il faut en aimer le gris. Et l’œil en saisir la lumière ». (Gilles Vigneault. La Petite heure) [caption id="attachment_4552" align="alignnone" width=""]Le gris de l’automne… © Lisa Haas[/caption]
(08 novembre). À la Saint Geoffroy, le brouillard est roi. [caption id="attachment_4550" align="alignnone" width=""]Une forêt de sapins dans la brume automnale. ©www.map-photos.com – N. & P. Mioulane[/caption]
« Sur la bruyère longue infiniment,Voici le vent de novembre ;Sur la bruyère, infiniment,Voici le ventQui se déchire et se démembreEn souffles lourds battant les bourgsVoici le ventLe vent sauvage de novembre. » (Émile Verharen. Les Villages illusoires)