« Oh ! les bons vieux figuiers qui donnent ces bijoux ! Ils sortent, candélabres torves, des entrailles d’un jardin mal fermé de bonnasses murailles, saignant partout en rose un sirop clair et doux. »
(Elzéar Rougier, 1857-1926, poète, écrivain et peintre français ; Marseille au temps des poilus, 1919)